PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

In La Formation par Alternance :

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Recommandations du Conseil de l’Union européenne du 20 décembre 2012 (extraits) :

POUR OFFRIR AUX CITOYENS LA POSSIBILITÉ DE FAIRE VALOIR CE QU’ILS ONT APPRIS EN DEHORS DE L’ÉDUCATION ET DE LA FORMATION FORMELLES — Y COMPRIS PAR LE BIAIS DE LEURS EXPÉRIENCES DE MOBILITÉ — ET DE TIRER PARTI DE CET APPRENTISSAGE DANS LEUR VIE PROFESSIONNELLE ET LA SUITE DE LEURS APPRENTISSAGES, LES ÉTATS MEMBRES DEVRAIENT :

1) mettre en place, en 2018 au plus tard, en tenant compte des situations et des spécificités nationales, et dans les conditions qu’ils jugent appropriées, des modalités de validation des apprentissages non formels et informels qui permettent aux citoyens :
– de faire valider les savoirs, les aptitudes et les compétences qu’ils ont acquis grâce à l’apprentissage non formel et informel, y compris, le cas échéant, par des ressources didactiques en libre accès;
– d’obtenir une qualification complète ou, le cas échéant, partielle, sur la base d’expériences d’apprentissage non formelles et informelles validées (…). Les États membres peuvent accorder la priorité à certains domaines et/ou secteurs dans le cadre de leurs modalités de validation, en fonction de leurs besoins;
2) intégrer, le cas échéant, les éléments suivants aux modalités de validation de l’apprentissage non formel et informel, tout en permettant à chacun de bénéficier de ces possibilités, séparément ou de manière combinée, en fonction de ses besoins (..).
4) inciter toutes les parties prenantes concernées — telles que les employeurs, les syndicats, les chambres de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, les organismes nationaux intervenant dans la procédure de reconnaissance des qualifications professionnelles, les agences pour l’emploi, les organisations et animateurs de jeunesse, les prestataires de services d’enseignement et de formation et les organisations de la société civile — à participer à l’élaboration et à la mise en oeuvre des éléments et des principes visés aux points 1 à 4. Pour encourager la participation à ce processus :
– les employeurs, les organisations de jeunesse et les organisations de la société civile devraient favoriser et faciliter l’identification des acquis d’apprentissage constitués au travail ou lors d’activités bénévoles et la production des documents qui en attestent, à l’aide des instruments appropriés de transparence de l’Union, tels que ceux mis au point dans le cadre d’Europass et de Youthpass;
– les prestataires de services d’enseignement et de formation devraient faciliter l’accès à l’enseignement et à la formation formels sur la base des acquis non formels et informels et, le cas échéant, accorder si possible des dispenses et/ou des crédits pour les acquis d’apprentissage pertinents constitués de cette manière;
5) promouvoir la coordination concernant les modalités de validation entre les acteurs des secteurs de l’enseignement, de la formation, de l’emploi et de la jeunesse, ainsi qu’entre ceux des autres domaines d’action concernés.

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