PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

La lettre électronique numéro 40 septembre 2006

De la doc, des infos…pour alimenter votre votre/notre réflexion et PRISMEr ensemble
La plupart de la documentation est disponible sur demande à [prisme@prisme-asso.org->prisme@prisme-asso.org]
En bleu ajouts et commentaires du rédacteur

? La Rencontre mensuelle du mercredi 20 septembre de 18 h à 20 h 30 au Conseil régional Ile de France situé au 65 rue de Babylone (salle 154) métro St François Xavier est remplacée par un Conseil d’administration élargi à tous les amis(es) prismés(es) pour entamer ensemble l’année scolaire, pleine de…perspectives !

? A RETENIR:
Les 5ème Rencontres nationales de l’éducation les 11, 12 et 13 octobre 2006 – Centre culturel Le Triangle – Rennes
EDUCATION et TERRITOIRES : refonder le service public d’éducation :
– Quelles expériences modifient concrètement les architectures éducatives ? Quels leviers font « bouger les lignes » ? Avec quelles conséquences ?
– Quel service public d’éducation pour demain ; Démocratie participative ? Pilotage concerté ? Politique contractuelle ? Rôle des associations et des familles.
– Réduire les inégalités et les discriminations en éducation : assurer la réussite de tous, valorisation toutes les compétences, démocratiser l’accès à l’enseignement supérieur …
– Education et territoires : éclairage européen. Une rencontre dont PRISME apprécie l’esprit. A ne pas manquer
[www.laligue35.org->www.laligue35.org ] – [www.ville-rennes.fr->www.ville-rennes.fr ]
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Les mots« prismés » du mois
? Les bons mots du mois :
– « La ville est ciel de nuit, barque étoilée où nous prenons place avec nos faims de justice et de paix , nos soifs en souffrance ». Tanella BONI
– « J’ai découvert ce secret : après avoir gravi une haute colline, tout ce qu’on découvre, c’est qu’il reste d’autres collines à gravir» Nelson MANDELA
– « Du fait que le monde est de plus en plus envahi par la technique, il y a de plus en plus d’individus qui se trouvent concentrés en une grande masse humaine. Or le caractère de toute masse dépend de la structure et de la mobilité interne de ses parties les plus petites. Cela vaut également pour les hommes pris comme masse. Il faut donc activer chaque individu par la confiance qu’on lui accorde. Il faut lui donner de la confiance en lui, de l’espoir et par là une réelle liberté. Ce n’est que comme cela que nous pouvons travailler et vivre et ne pas ressentir l˜appareil législatif qui nous entoure comme un humiliant parc à bestiaux. » Franz Kafka
– « La vraie révolution se fait à l’école » Albert Jacquard, Généticien et essayiste, membre du comité national d’éthique, vient de publier Utopie

? Les deux mots-clefs Rubrique établie sur la base de l’ouvrage de Francis DANVERS « 500 mots-clefs pour l’éducation et la formation tout au long de la vie » 2003 Avec l’aimable accord de l’éditeur : les Presses universitaires du Septentrion Villeneuve d’Ascq

– Lecture
[http://www.prismeasso.org/article.php3?id_article=339&recalcul=oui->http://www.prismeasso.org/article.php3?id_article=339&recalcul=oui]
-Linguistique
[http://www.prisme-asso.org/?p=368&recalcul=oui->http://www.prisme-asso.org/?p=368&recalcul=oui]

Note de lecture…estivale de Jacques GUYARD
Ph. Meirieu. « Ecole : demandez le programme ». Paris ESF éditeur,2006.

Ce livre de Ph. Meirieu était très attendu* par tous ceux qui s’intéressent à la politique de l’éducation et qui apprécient depuis longtemps les prises de positions et les analyses de l’ancien directeur de l’IUFM de Lyon. Le maître d’une pédagogie formatrice du citoyen et garante de l’égale possibilité pour chaque jeune d’accéder à la réussite scolaire passe le pas et s’engage dans la voie d’un programme de réformes politiques indispensables à ses yeux. A neuf mois des présidentielles, le titre choisi montre bien la volonté de peser dans le débat dans un domaine sur lequel les politiques, y compris à gauche, s’aventurent avec prudence tant le souvenir des échecs est cuisant. Le résultat est passionnant et parfois nous laisse sur notre faim.( …)
Voir la suite sur le site de PRISME [http://www.prisme-asso.org/?p=369&recalcul=oui->http://www.prisme-asso.org/?p=369&recalcul=oui]

*PRISME ayant eu le privilège d’une lecture avant parution « zofficielle » ! Merci à Philippe

POLITIQUES EDUCATIVES TERRITORIALISEES

Pays et Education : une rencontre à venir ? ouvrage de notre ami André Chambon. Témoignant d’une véritable métamorphose de l’Etat, liées aux procédures de déconcentration et de décentralisation, se sont mises en place, depuis bientôt vingt cinq ans, d’importantes restructurations administratives et politiques ente les niveaux de gestion du ˜national’ et « local ». Et cette évolution concerne progressivement le monde de l’éducation…

Les « pays », participent pleinement de la quête actuelle d’aménagement du territoire : cette entité originale appelle en effet à un quadripartisme des partenaires (élus, socioprofessionnels, associations, Etat) qui révèle la volonté de réunir localement les conditions favorables à une unicité de stratégie dans la démarche de développement.

L’ouvrage propose l’analyse de deux réalités éducatives et culturelles inscrites dans deux territoires fortement caractérisés, le pays Montmorillonnais dans le département de la Vienne et le pays du Haut Cantal-Dordogne dans le Cantal avec une extension en Corrèze. Il ressort pour l’instant que la situation actuelle montre peu de prise en compte des questions éducatives par l’outil de gestion que représentent le Conseil de Développement et sa Charte de pays …

Toutefois, l’existence de politiques éducatives territorialisées – propres à l’Education nationale avec les Collèges multipolaires et les Bassins de formation, ou regroupant plusieurs partenaires comme les Contrats éducatifs locaux – semble désormais susceptible de déboucher sur l’intervention (lors d’une autre étape politique ?), d’un « cercle éducatif et culturel » : celui-ci, pourrait alors prendre sa place – à l’instar des volets éducatifs des Contrats de ville – au sein de la politique globale de chaque Conseil de développement des 344 pays comptabilisés à ce jour…

Ce livre s’adresse à tous les acteurs du développement local – responsables de « l’Etat au local », praticiens des collectivités locales, acteurs économiques et militants associatifs – qui participent, à des titres divers, à l’émergence contemporaine d’une approche plurielle de l’éducation.
[http://www.editions-harmattan.fr->http://www.editions-harmattan.fr ]

? Quand la ville se défait . Quelle politique face à la crise des banlieues ? Paris, Le Seuil, mars 2006, 190 p. Jacques DONZELOT. Reconnaître la « ville réelle » en faisant de l’agglomération urbaine une entité démocratique à part, surplombant les communes. Une solution donc : l’intercommunalité pour des actions s’intéressant plus aux gens qu’aux lieux.

? Synthèse des organisations dérogatoires de la semaine scolaire par département. [http://eduscol.education.fr->http://eduscol.education.fr ]

? SERVITEURS DE L’ETAT Les collectivités locales, un autre modèle. La fonction publique territoriale est née de la décentralisation, de la volonté de doter les collectivités locales d’agents et de cadres capables de piloter leurs nouvelles compétences. Autour des principes d’unité de la fonction publique territoriale, de spécificité et de comparabilité avec la fonction publique d’état, est constitué un modèle original et aujourd’hui consensuel, à la fois fonction publique de carrière et marché de l’emploi. Proches des élus, au service du public et du territoire, responsables de projets et de budgets conséquents, les cadres des collectivités locales , et notamment les administrateurs territoriaux, exercent des fonctions de plus en plus attractives. Revue Pouvoirs Seuil, 15 e [ www.seuil.com-> www.seuil.com]

? Le transfert aux collectivités territoriales des personnels techniques et ouvriers de service de l’éducation nationale : l’analyse des questions statutaires. Le transfert aux départements et aux régions des personnels techniciens, ouvriers et de service des collectivités et des lycées a été l’un des points les plus contestés de l’acte II de la décentralisation. La loi leur offre, après une période de mise à disposition, le choix entre une intégration dans la fonction publique territoriale et un détachement sans limitation de durée. Dans la première hypothèse, des cadres d’emplois spécifiques ont été crées. La seconde leur permet de démurer fonctionnaire de l’Etat, même sui un retour s’avérera, dans la pratique, sans doute extrêmement difficile. In AJDA – 26 juin 2006

? Un schéma départemental prospectif de l’organisation du territoire scolaire. Convention entre l’Etat et les élus locaux qui reconnaît que la communauté de communes, « lorsqu ˜elle existe », est « l’échelon approprié pour définir une cartographie prospective des implantations scolaires et périscolaire ». Les signataires s’engagent ainsi à favoriser le développement du travail des écoles en réseau, « en vue d’améliorer l’offre éducative en milieu rural ».

? 2007-2013 : la cinquième génération des contrats Etat – régions La planification concertée entre l’ Etat et les régions n’est plus ce qu’elle était. Les contrats de plan conservent certes leur sigle (CPER), mais changent de nom. Le projet se substitue au plan, et l’Etat reprend la main. In les cahiers de la fonction publique – mai 2006

? CAMPAGNE-VILLE : LE PAS DE DEUX Enjeux et opportunités des recompositions territoriales – Séminaire de 3è cycle – septembre à novembre 2006 organisé par la Communauté d’études pour l’aménagement du territoire (C.E.A.T.) sous l’égide de la Conférence Universitaire de Suisse Occidentale (CUSO).
Module 1 : Connaître : rural-urbain, l’évolution des territoires (état, des lieux et tendances)
Module 2 : Comprendre : les dynamiques à l’oeuvre, les enjeux, les conflits et les synergies
Module 3 : Proposer : rural-urbain , quelle action publique pour les territoire de demain ? http://ceat.epfl.ch

En bref
Des régions
Basse-Normandie Accès au logement des jeunes Ce programme se situe à deux niveaux. Financièrement d’abord, la région réserve des logements, exempts de dépôt de garantie, auprès des bailleurs sociaux et se porte garante du règlement des loyers pour un maximum de six mois impayés. Le bail est dit « glissant » et est signé, dans un premier temps par les comités locaux pour le logement autonome des jeunes (CLLAJ) In La Gazette [http://www.lagazettedescommunes.com/->http://www.lagazettedescommunes.com/ ]

Bretagne Faciliter l’accès à la formation dans les territoires grâce aux 14 maisons de la formation professionnelle dans les pays. Suite à ˜initiative lancée par le Conseil régional au printemps 2005, les 21 pays bretons, se sont engagés dans la création de Maisons de la formation professionnelle (MFP). Cette démarche n’a pas pour objectif de regrouper, en un seul et même lieu, les différentes structures d’accueil, d’information et d’orientation existant sur un même territoire (ANPE,, missions locales, CIO…), mais de les faire travailler ensemble pour faciliter l’accès à la formation pour tous, tout au long de la vie. Le comité de coordination locale sera chargé d’assure , à l’échelle du Pays, un suivi des travaux de la MFP, de coordonner le réseau et ˜organiser la concertation sur les besoins du territoire dans ce domaine.

? Centre Le conseil régional crée un « CFA académique » pour structurer et développer l’offre de formation par apprentissage au sein des lycées.

Ile-de-France Le dynamisme du tissu productif francilien ne profite pas aux emplois salariés Dans la construction, le commerce, les activités immobilières et l’éducation, la santé et l’action sociale, la croissance du nombre d’établissements ne s’est pas accompagnée d’un hausse de l’emploi salarié. Ces secteurs font davantage appel à des non-salariés (freelance, intérimaire et indépendants) In INSEE N°267 – Mai 2006

Languedoc-Roussillon Un protocole d’accueil et d’intégration pour les TOS. Le président du conseil général du Gard, a signé vendredi 7 juillet avec les représentants de cinq organisations syndicales un « protocole des conditions d’accueil et d’intégration des personnels TOS ». Ce document d’une vingtaine de pages, fruit de huit réunions de travail, vise à aider les 486 agents mis à disposition du conseil général depuis le 1er janvier à faire un choix entre une intégration dès le 1er janvier 2007 dans l’administration départementale ou un maintien dans la fonction publique d’ Etat. « Nous voulions qu’ils aient toutes les cartes en main avant de faire leur choix, explique le responsable du pôle de gestion à direction de l’éducation du conseil général. Le président du conseil général souhaitait également que es agents ne se sentent pas rejetés du fait des prises de position politiques des élus sur la décentralisation. »
Le protocole apporte une série de précisions sur la rémunération, la carrière et l’organisation du travail des agents. Il pose en particulier le principe de l’équivalence du régime indemnitaire des personnels TOS avec celui de la filière technique en poste au conseil général. On estime au conseil général que cette disposition devrait entraîner un gain annuel moyen supplémentaire de 3.000 pour les agents transférés. Le protocole réaffirme par ailleurs la spécificité des foncions des agents TOS et leur rattachement à la communauté éducative en organisant leur temps de travail en fonction de la présence des élève dans le collège (dans le cadre de la durée annuelle de 1.600 heures)
Un document du même type avait été établi en avril dernier à l’intention des agents de la DDE concernés par le transfert des routes.

Nord-Pas-de-Calais Schéma des formations Le conseil régional Nord-Pas-de-Calais vient d’adopter à l’unanimité son schéma des formations, « outil de prospective et de planification de la politique régionale en matière d’éducation, de formation et d’insertion professionnelle ». Pierre d’angle de cette réflexion : le « droit à la formation pour tous ».
Les lycées occupent un rôle central dans la stratégie du conseil régional : ils ont vocation à devenir « des lieux de convergence du service public de formation initiale, de l’apprentissage, de la formation continue et de la VAE » (validation des acquis de l’expérience). Il s’agit de « doter chaque bassin d’un système complet cohérent de formation », en favorisant la poursuite d’études et en établissant des passerelles ente les différentes filières, mais aussi de « donner à la VAE une organisation régionale simple et une animation de proximité ».

Le Nord-Pas-de-calais enregistre une série de retards, que ce schéma vise à réduire. « L’une des particularités régionales est la stagnation, voire la régression, du succès aux examens », déplore Daniel Percheron, président du conseil régional. « Depuis 2000, tout se passe comme s’il y avait résignation », ajoute t-il. Le taux de réussite au baccalauréat, toutes séries confondues, est en 2005 de 76,3 % dans la région, pour une moyenne nationale de 80,2 %.

De plus, dans le second degré, le nombre de sortants sans qualification est important (9% des élèves dans la région contre 6% au niveau national) : plus de 6 000 jeunes sont chaque année en situation de décrochage. L’enseignement professionnel reste fort, au détriment de la filière générale et technologique, mais aussi de l’apprentissage : 41% des élèves sont scolarisés dans des lycées professionnels, « près de 10 % de plus qu’ailleurs », souligne le résident Percheron ; Par ailleurs, l’accès à l’enseignement supérieur est dominé par les études courtes : seuls 7,9% des étudiants s’engagent dans un troisième cycle (10% en moyenne nationale).
Les grandes lignes du schéma régional des formations ont été présentées loirs de la séance plénière qui s’est tenue à Lille les 21, 22 et 23 juin 2006

L’ossature du schéma régional des formations porte, valorise et actualise le concept de « lycée des métiers » : « Le maillage exceptionnel du Nord-Pas-de-Calais en nombre de lycées permet d’imaginer des mises en réseaux d’établissements autour d’une famille de métiers ». Ce serait d’ailleurs une manière de maintenir en vie ces établissements, constate le vice-président en charge du schéma régional des formations : « La région connaît une baisse significative des effectifs scolaires (-60 000 élèves entre 1995 et 2005). Or, nous avons des établissements de taille plus importante que la moyenne nationale. Certains d’entre eux peuvent être menacés. Ils doivent s’ouvrir à la formation professionnelle et à l’apprentissage ». Il préconise également la création d’internats de ville adaptés à tous les publics, lycées, apprentis et stagiaires de la formation professionnelles.

Pays de la Loire La convention passée entre l’académie de Nantes et la région Pays-de-la-Loire met l’accent sur la formation professionnelle.
L’objet de cette convention est de « clairement identifier le rôle des différentes acteurs et de développer des coordinations fortes »,indique, le président du conseil régional des Pays de la Loire. Dans cette convention, les deux signataires soulignent la place de la formation professionnelle, « voie de toutes les réussites » pour garantir aux jeunes de la région l’accès aux savoirs, à la qualification et à une insertion professionnelle et sociale réussie. Un e première convention cadre relative à l’éducation et à la formation avait été signée en 2003, s’attachant principalement à l’affirmation d’intérêts communs pour la réussite des lycéens et des apprentis. La loi du 13 août 2004 et les nouvelles orientations politiques issues du manifeste régional 2005-2015 justifiaient sa mise à jour. Cette nouvelle version affirme un co-pilotage Rectorat-Région autour de six axes prioritaires d’actions communes :
– La formation professionnelle, voie de toutes les réussites,
– Une information et une orientation au service de tous les publics, un accès à la qualification et à l’insertion facilité,
– Une meilleure articulation entre les programmes d’investissement régionaux et les besoins pédagogiques,
– Une action sociale cohérente pour un légal accès aux formations pour aider les publics en difficultés,
– Une action éducative qui renforce la cohérence et la capacité d’initiative des établissements,
– une collaboration maintenue pour les personnes TOS.
Le rôle de la Région se trouve ainsi consolidé et mieux reconnu encore ne matière d’éducation et de formation.

Poitou-Charentes Apprentissage:dossier central de la Commission Permanente avec la mise en œuvre de la politique régionale du 12 juin 2006.
[ http://www.cr-poitou-charentes.fr/upload/dossiers/2006-12-06-commission-permanente448d5dadae303.pdf-> http://www.cr-poitou-charentes.fr/upload/dossiers/2006-12-06-commission-permanente448d5dadae303.pdf ]
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Notre espace commun : l’Europe et au-delà Cette rubrique est alimentée sur la base en particulier de VousNousIls et de l’Expresso

 Grande-Bretagne Le principe ? Faire passer l’usager en premier ; par exemple, placer le patient au cœur du Service santé, et l’élève et ses parents, au cœur du système scolaire. C’est pourquoi le choix des mécanismes du marché, l’encouragement à la diversité des prestataires de services, les partenariats avec les secteurs associatif et privé, ont un rôle décisif à jouer. Ils ne s’opposent en rien aux valeurs du secteur public. Ils contribuent même à les concrétiser, à préserver leur pertinence, à en améliorer la mise en œuvre. In OUTRE-MANCHE – juin 2006. Ambassade de Grande-Bretagne, Service de Presse. http://www.amb-grandebretagne.fr

SOCIETE

Crise sociale, fracture civique. La société civile, acteur d’une nouvelle donne démocratique : 10e Rencontre de la démocratie locale à Dijon, les 20 et 21 octobre 2006
« Les citoyens sont-ils en capacité d’agir et de contribuer de façon autonome à l’élaboration des politiques publiques ? Quels sont les lieux et les moyens dont ils disposent pour participer à la prise de décision ? Comment peuvent évoluer les dispositifs existants, notamment sur les territoires intercommunaux ? Quels sont les changements institutionnels indispensables ? Comment, à partir du local, construire une société plus juste, plus solidaire ? Appuyées sur les bilans et les échanges d’expériences, les 10e rencontres de la démocratie locale seront l’expression vivante du droit de regard de la société civile sur l’action publique. » [http://www.adels.org->http://www.adels.org ]

? Des parents dans les crêches : utopie ou réalité, ? Ouvrage de Marie-Laure Cadart médecin et anthropologue. Qui a travaillé de nombreuses années en Protection maternelle et au Syndicat national des médecins de PMI. Elle s’occupe plus particulièrement du dossier de l’accueil de la petite enfance. Editions Erès, juin 2006, 240 pages, 23€ [http://www.edition-eres.com/resultat.php?Id=1797->http://www.edition-eres.com/resultat.php?Id=1797]

? Créer, penser l’acte de création Le n° 23 de Graffite est une invitation à penser autrement. La place du sujet, le rôle du groupe, des contraintes et des modèles proposés dabs chaque démarche s’articule au postulat d’une infinie capacité humaine. Prix 7 € – [www.gfen.asso.fr->www.gfen.asso.fr ]

? Eduquer à la citoyenneté De Vecchi G. Vincent J.F. Cette nouvelle collection aborde les grandes questions d’éducation de façon transversale ou par le thème. Outre les nécessaires réflexions théoriques sur le sujet, vous trouverez également dans cet ouvrage des pistes pratiques et des outils concrets. En marge du texte, des remarques guident l’utilisateur pour se repérer facilement. De plus, le niveau d’adaptation au cycle de l’école ou du collège est toujours précisé. mars 2006 Prix 8 €.

? Scolarisation et modes de garde des enfants âgés de 2 à 6 ans Etude, issue principalement des données de l’enquête Modes d’accueil et de garde des jeunes enfants, menée en 2002 par la DREES, qui évalue les taux de scolarisation à chaque âge et identifie les différents modes de garde hors temps scolaire.
L’entrée à l’école constitue une étape très importante dans la vie d’un enfant. alors âgé de 2 ans ou de 3 ans Cet évènement modifie l’organisation de sa vie quotidienne et la façon dont il est gardé.
En 2002, 37% des enfants de 2 ans avaient intégré l’école maternelle (le plus souvent à mi-temps), contre 97% des enfants âgés de 3 ans (dont 70% à temps complet). Avec la remontée de la natalité intervenue en 2000, le taux de scolarisation a toutefois sensiblement diminué depuis, atteignant 25% à la rentrée 2005. Les taux de scolarisation précoce, inégaux selon les départements, varient par ailleurs en fonction de l’offre de places en maternelle, notamment dans le secteur privé. La moitié des écoliers âgés de 2 à 6 ans déjeune à) la cantine. A la sortie de l’école (à partie de 16h30), deux tiers des enfants sont gardés par l’un de leurs parents. C’est aussi le cas de la moitié de ceux dont les parents travaillent à temps complet. Les choix du mode de garde hors temps scolaire dépendent surtout de la taille de l’agglomération et des activités des parents. Le recours aux garderies périscolaires et aux centres de loisirs est surtout répandu dans les grandes villes, et en particulier à Paris. Etudes et Résultats In DREES n°497 juin 2006

? Passerelles, vous avez dit passerelles ? Intervention de Mme Luce Dupraz , Historienne Sociologue, Membre du comité Enfance de la Fondation de France – Lyon ,à l’occasion du colloque « Les passerelles … Des passe-âges » à Brest le mercredi 9 mars 2005. Les lieux passerelles entre famille et école maternelle représentent une tentative réussie pour dépasser les antagonismes entre le secteur de la petite enfance, sous tutelle du ministère des Affaires Sociales, et le secteur de l’école maternelle sous tutelle de l’Education nationale. Cette une formule intéressante pour sortir par le haut d’antagonistes séculaires focalisés sur le débat « pour ou contre la scolarisation des enfants de 2/3 ans ». Ce dépassement par le haut se manifeste par les rapprochements et les collaborations ente les composantes de l’Education nationale, du secteur social et du secteur de l’enfance. L’assistance à ce colloque, dans sa diversité, en témoigne.

? Les attitudes à l’égard de la vie en société des élèves de fin d’école et de fin de collège L’évaluation des attitudes des élèves à l’égard de la vie en société a été réalisée en mai et juin 2005. Interrogés sur leurs attitudes et leurs avis face à diverses situations relatives à la vie en société, les élèves devaient exprimer leur accord ou désaccord avec des affirmations commençant par « Certains pensent que … » ou « Certains disent que … ». Sur le même mode, ils avaient à juger chacune des déclarations soumise à leur appréciation « acceptable » ou inacceptable », « grave » ou pas, « normale » ou pas. On leur demandait également de dire comment ils agiraient face à des situations concrètes. De nombreuses questions avaient aussi pour objectif de mieux connaître le cadre scolaire et familial dans lequel ils étudient et vivent. Les directeurs d’école, les chefs d’établissement ainsi que les conseillers principaux d’éducation au collège ont également répondu à des questionnaires de contexte pour éclairer les réponses des élèves et livrer leurs perceptions, entant qu’acteurs de terrain, des attitudes des élèves au sein de leur école ou collège. In note évaluation 06.02 août. www.education.gouv.fr/stateval

? Une étude sur le rôle des francs-maçons dans l’élaboration des lois Ferry « Connaissant elle-même une mutation qui démocratise et laïcise son fonctionnement, la franc-maçonnerie accompagne davantage les évolutions qu’elle ne peut les provoquer », écrit Jean-Paul Delahaye (professeur associé à Paris V) à propose du rôle qu’ont joué les francs-maçons dans la préparation de « la loi de 1880-1182 sur la scolarité obligatoire » Article d’une quarantaine de pages publié dans la revue « Histoire de l’éducation » de l’INRP, daté de janvier 2006.
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? Les quatre modes de régulation sociale Quatre idéaux types de régulation de la vie sociale dans les quartiers en difficulté peuvent être identifiés. Ils mettent en scène des modalités différentes des rapports entre élus, techniciens et habitants, mais aussi au référent de la loi et du politique. – Régulation technique, Régulation clientéliste, Régulation participative, Régulation sécuritaire. Joëlle Bordet in TERRITOIRES – Mai 2006

? Avec des partenaires éducatifs, on s’ouvre à d’autres types d’approches pédagogiques Cécile Fortin Débart, post doctorante à STEF (ENS Cachan), chercheur associé au muséum national d’histoire naturelle, explique les enjeux de l’EEDD. Il me semble plus important de leur donner des outils pour comprendre leur environnement proche et commencer à construire chez eux l’idée qu’ils peuvent être acteurs, à leur niveau, dans leur cadre de vie ». Elle apporte de nouvelles dimensions telles que la solidarité avec les générations futures, la solidarité avec les pays en voie de développement. Développer l’esprit critique, l’autonomie, adapter la problématique environnementale au développement durable du cadre de vie de l’élève, construire un lien avec ce qui nous entoure, développer un sentiment d’appartenance pour son territoire et son patrimoine me semblent des objectifs autrement essentiels. Le partenariat est très important et je vois principalement deux raisons. La première, c’est que l’environnement et le développement durable sont des objets sociaux complexes partagés par de multiples acteurs. Et ce sont souvent les conflits d’intérêts, d’usage et de représentations qui posent problème. In revue Fenêtre sur cours

? Les associations et le droit administratif : plaidoyer pour la convention d’objectifs et de moyens. Pour Sophie Nicinski, les conventions publiques aux associations procèdent d’une logique autre que celle de la commande publique : celle de la réglementation négociée, de l’encadrement, du fondement et de la légitimation des fonctions de contrôle du secteur privé par l’administration. Elles ne doivent donc pas être soumises à ce droit, même si leur passation et leur exécution doiventêtre encadrées. In revue mensuelle LexisNexis Jurisclasseur – Droit administratif – juin 2006

? Utilisation d’un score de précarité dans le cadre de l’atelier santé ville de Bondy. : L’objectif de ce projet est d’aller à la rencontre des bénéficiaires des Restaurants, de promouvoir la santé et de dépister les maladies par une prise en charge médicale précoce et adaptée. Les personnes rencontrées ont ainsi la possibilité d’assister à des interventions d’éducation à la santé dont elles choisissent elles-mêmes les thèmes : elles ont aussi invitées à réaliser des « bilans de santé » sur le site où sont distribués les colis alimentaires. In ASV n° 5 – juillet 2006

? Le système éducatif français.
I – Données générales II – Fiches de révision III – Exercices IV – Documents de référence V – Tests de connaissance
CAHIERS CONCOURS La Gazette – cahier détaché n°2-23/1841- 5 juin 2006

? Réussite éducative : Un nouveau cadre de mise en œuvre. Si les autres dispositifs éducatifs sont généralement pilotés localement par les collectivités, dans le cas de la réussite éducative, c’est une structure juridique dédiée qui porte la responsabilité du projet et qui contractualise avec l’Etat.
Cette structure, qui rassemble l’ensemble des institutions et associations concernées, dispose d’outils juridiques, administratifs et comptables adaptés à une gestion souple et réactive : favoriser les synergies entre les actions, la collégialité entre les partenaires en privilégiant une logique de projet. Même si à l’heure actuelle, cet objectif n’est pas clairement perçu par le local.
Enfin, l’Etat joue ici un rôle particulier : au-delà de sa fonction de tutelle et de financeur, il est partie prenante du projet via ses services déconcentrés qui participent aux instances décisionnelles de chaque structure juridique. In La Lettre de la DIV n° 111 juin 2006

? « Il existe pas d’autre pays que la France qui ait construit son système scolaire à ce point contre le système familial » affirme Philippe MEIRIEU .
Cette fermeture de l’école renvoie à la fois à la conception de l’Ecole sanctuaire, à une posture pédagogique, celle du professeur transmetteur incontesté et finalement à une économie de l’Ecole (l’enseignement payé uniquement pour assurer ce service de transmission). La question u déploiement des ENT n’est donc pas d’abord technique.
Elle ne pourra se faire qu’au prix d’une évolution profonde de ces conceptions.

? Ecole et violences : comment appréhender le problème ? La violence comme forme particulière de déviance.. Une définition fluctuante .
Des causes multiples : la recherche de « coupables », les violences comme conséquence de l’organisation socio-économique, l’école terreau des violences anti-scolaires
Ecole primaire et violences : pour un premier état des lieux :, des acteurs aux points de vue divergents, des causes multifactorielles.
Faire face aux violences : politiques gouvernementales et stratégie des acteurs ; refonder un système de valeurs républicaines ; redéfinir les modalités d’intervention institutionnelle, renforcer l’action au niveau des établissements, construire une autorité pédagogique
La place de l’école a changé, c’est là une des raisons à sa porosité aux phénomènes de société. En s’ouvrant au plus grand nombre, l’école perd son caractère de « sanctuaire », un monde à part régi par des lois propres. En s’ouvrant à l’extérieur et la logique économique, l’école n’apparaît plus comme un lieu spécifique : le savoir scolaire n’y fait plus sens alors que l’importance des diplômes e cesse de croître. Avec l’effondrement des clôtures symboliques, les violences de l’environnement ne rencontrent plus guère d’obstacles pour pénétrer dans les établissements. Dégradations, vols, raquettes, agressions physiques peuvent constituer autant de manifestations d’une délinquance mettant à profit les occasions de s’exprimer qu’offre l’école.
Refonder un système de valeurs républicaines : la citoyenneté comme apprentissage du vivre-ensemble. Bernard Charlot. « Violences à l’école. », . La dimension « ethnique » du problème. VEI Enjeux, n°121,op.cit., pp. 180-181 (extrait)
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JEUNESSE
? Le cadre pertinent de participation est la commune, selon une enquête ANAJEJ-CNJ.
Le « bureau consultatif des jeunes » de Poitiers a été crée il y a quatre ans dans le but « d’accompagner les jeunes vers l’autonomie et la solidarité » Cette instance a permis de recueillir l’avis des jeunes sur l’aménagement de certaines rues. Elle a donné naissance à deux associations : une junior association ayant pour objectif de mener un projet humanitaire, et une association de majeurs ayant pour objectif de créer un festival.

? Défense deuxième chance : favoriser l’insertion professionnelle des jeunes Rapport 2006 du Conseil Economique et Social
[http://www.ces.fr->http://www.ces.fr ]
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POUR L’EGALITE ET CONTRE LES DISCRIMINATIONS
? Le premier frein à la diversité est l’ignorance de la discrimination, selon une étude de Syntec Conseil en recrutement. . « Les freins à la diversité » en entreprise sont nombreux et se caractérisent par des paradoxes. Le premier d’entre eux, le plus massif, est que la plupart du temps nous n’avons même pas conscience de faire de la discrimination ; Et, pourtant, les statistiques sont là pour nous le rappeler », indique Catherine de Verdière, présidente de la commission en charge du projet d’étude sur la lutte contre les discriminations de la fédération Syntec Conseil en recrutement. Elle s’exprimait au cours d’un colloque sur la diversité organisé par le syndicat patronal, jeudi 22 juin 2006. Au lieu de se contenter de recruter des « clones » en sélectionnant par le diplôme, les recruteurs sont incités à définir des besoins en fonction des qualités recherchées

? Pour ˜dé-ségréguer’ les quartiers, il faut une action concertée ente les politiques éducatives et les programmes de renouvellement urbain », en ouverture du colloque consacré à « L’Ecole au cœur des enjeux urbains » en juin au Sénat.
Pour Jean-Paul Delahaye, IGEN (Inspecteur général de l’Education nationale), il n’existe plus aujourd’hui de système éducatif au singulier. « Nous avons laissé se guettoïser des zones entières du territoires et nous pouvons très concrètement voir le phénomène de ségrégation ethnique », « Certains vont jusqu’à parler de communautarisme. « Une telle situation génère dans les établissements, de la part des élèves ségrégués, un rejet d’autres élèves « Français », « Chrétiens », Gaulois », selon l’inspecteur général. « La situation est grave. Nous avions déjà signalé cette situation à l’inspection générale en 2003 et elle ne s’est pas arrangée », poursuit -il.
« Il existe dans notre système scolaire des ordres comme dans l’Ancien régime, avec des établissements regroupant des classes sociales homogènes. Dans ces situations extrêmes d’homogénéisation d’une population dans l’école, il faut avoir le courage de fermer ces établissements comme on détruit aujourd’hui un certain nombre de tours ».
« L’âge n’est pas seulement un facteur discriminant pour les seniors mais aussi pour les juniors, puisque c’est un critère de sélection dans les grandes écoles. Les jeunes n’ont pas la maturité suffisante pour s’orienter et ce sont les parents qui choisissent à leur place. Or les systèmes d’enseignement qui réussissent le mieux sont ceux qui permettent aux jeunes de choisir leur voie quand ils ont un degré de maturité suffisant. »

? La discrimination positive territoriale, prélude à une discrimination positive « ethnique » ? Gwénaëlle Calvès, Sociologue, professeur à l’université de Cergy-Pontoise et chercheur associé au centre d’analyse et de théorie du droit (université de Paris X-Nanterre/CNRS)- La discrimination positive, Paris Presses universelles de France, coll. »Que sais-je ? », 2004, pp.3-4, 113-116, 122 (extraits). In l’immigration en débats.

? Discrimination positive ou intégration républicaine ? Pour une société de la nouvelle chance. Luc Ferry, président du Conseil d’analyse de la société. De la discrimination positive comme approche de l’égalité : arguments pour et contre.Article extrait du rapport du Conseil d’analyse de la société In la Documentation française, septembre 2005.

? Les collectivités donnent l’exemple : les personnes d’origine étrangère, nombreuses dans la FPT, peinent à s’élever dans a hiérarchie et à sortir des domaines de la sécurité ou de l’animation.

? Tour d’horizon de la discrimination positive à l’anglo-saxonne :Si la place d’une « minorité visible » est sans rapport avec les compétences qu’elle recèle, des objectifs de rééquilibrage puis des mesures préférentielles sont arrêtés. In La Gazette 19 juin 2006

? Les démarches engagées contre les discriminations par la Fédération des centres sociaux. Toutefois, le tabou qui pèse sur la question rend d’abord difficile une meilleure connaissance des mécanismes de la discrimination. Celle-ci peut être :
– directe, c’est alors une décision intentionnelle et négative à l’égard d’une personne en fonction de critères illégitimes (origines, religion, sexe, etc.), elle renvoie à des pratiques individuelles
– indirecte ou systémique, c’est donc un processus plus difficile à appréhender car mettant en jeu un système d’acteurs dans lequel personne ne manifeste d’intentions discriminatoires directe, mais dont le résultat sera de co-produire une situation discrimination. Par exemple, les intermédiaires de l’emploi qui n’envoient pas un jeune d’origine maghrébine dans une entreprise, de peur de le placer dans une situation d’échec.
On voit comment la discrimination est le produit d’un système, auquel chacun peut participer, même inconsciemment : nous sommes tous discriminants et personne n’est à l’abri des représentations erronées, des préjugés ou des erreurs de jugement. On peut aussi discriminer « de facto » par souci de protection … !
In Clicoss93-Plume n°38

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LAICITE
Voir La lettre laïque : lettre d’information du site[ http://www.laïcite-laligue.org/-> http://www.laïcite-laligue.org/]

? Financement de la scolarité des élèves de l’enseignement privé La FCPE, la Ligue de l’Enseignement, le SE-UNSA, le SGEN-CFDTet le SNUipp-FSU alertent à nouveau solennellement les pouvoirs publics sur les conséquences de l’article 89 de la loi relative aux libertés et responsabilités locales et de la circulaire du 2 décembre 2005…La loi sur les libertés locales de 2004 a introduit l’obligation pour les communes de résidence de financer la scolarité des élèves dans une école privée située sur une autre commune. Ces dispositions encouragent le contournement de la carte scolaire augmentant ainsi la ségrégation entre les élèves. In Communiqué de presse 13/06/06 FCPE

? L’ ICEM dénonce et s’indigne : l’ICEM revendique la présence de tous les élèves dans leur classe à la rentrée et réaffirme son positionnement commun avec Reseau Education sans frontière [ http://www.icem-pedagogie-freinet.org-> http://www.icem-pedagogie-freinet.org]

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APPRENTISSAGES TOUT AU LONG DE LA VIE

Grâce au Café pédagogique : Voir notamment Les infos EDUCNAT en direct en page d’accueil du site de PRISME . Merci à l’Expresso

? Sécurisation des parcours : « La mise en cohérence des parcours, notamment au niveau régional, constitue une question primordiale », selon le Groupe Amnyos consultants
Sécuriser signifie reconnaître le parcours comme une catégorie juridique à part entière produisant des garanties collectives pour les individus. Mais attention : la légitimité d’une intervention normative de l’Etat, des Régions ou des partenaires sociaux ne peut se justifier que si elle vient appuyer un cadre cohérent d’ingénierie et d’accompagnement de la mobilité, sous peine d’ajouter un dispositif d’assistance supplémentaire à ceux déjà existants. La prise en compte de cette dimension de la sécurisation suppose notamment de mieux définir la fonction d’ »accompagnateur de parcours », de réorganiser les services de l’emploi dans une logique de complémentarité et d’efficience territorial, et d’accompagner la mutation de l’offre de formation et d’orientation.
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Education prioritaire Se rendre sur le site de l’OZP…[http://www.association-ozp.net/->http://www.association-ozp.net/]
Voir toutes les informations sur ce dossier qui bouge mais…comment ? Et pourquoi ? Mais pour quoi faire ?

? Le défi de l’éducation prioritaire. Et si enseigner en milieu sensible, c’était devenir moins sensible, c’était s’armer. Un numéro du « Nouvel éducateur » sur les ZEP . numéro 180, juin 2006 ICEM

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L’IMAGE et le NUMERIQUE : deux nouveaux langages

? « La montée en charge des TICE accentue le divorce croissant entre les nouvelles formes de la pédagogie et le conservatisme des modes d’évaluation… On ne pourra pas continuer à exiger des élèves des compétences dans l’usage des TIC et éviter de les vérifier lors des grands rendez-vous ». Rapport qui invite à étendre les épreuves sur ordinateur et le contrôle en cours de formation.

? Espaces numériques de travail La généralisation d’un dispositif d’ENT (espace numérique de travail) dans une région permet une économie directe de l’ordre de 10,4 à 11,5 euros par an et par élève.
L’ARF (Association des Régions de France), la Caisse des dépôts et consignations et le cabinet Accenture publient une étude réalisée en Alsace, la Lorraine, la Picardie, l’Ile-de-France et Midi-Pyrénées, consacrée au modèle économique de l’ENT et de l’impact pour les régions de sa généralisation

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UNIVERSITE POPULAIRE OUVERTE EN RESEAU

? Faisant suite aux deux universités d’été de PRISME, des habitants du Nord 77 lancent à La Ferté sous Jouarre une expérience de partage de savoirs entre citoyens intitulée Croquons les savoirs Premiers RDV les 27, 28 et 29 octobre 2006 à l’Espace public des Pelletiers au P@T

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Vie de l’assoc/réseau PRISME

PRISME relais d’éducation populaire a rencontré le délégué général de la Jeunesse au Plein Air et Président de la Commission permanente des coordinations associatives (CPCA)
PRISME a reçu l
‘annuaire du mouvement associatif édité par la CPCA,
le guide du logement du Conseil régional Midi-Pyrénées,
le schéma des formations du Conseil régional Champagne-Ardenne,
le dossier de la fondation des Ecoles de la seconde chances
le compte-rendu du colloque « Veille éducative » de Dreux
Une bibliothèque de prêt de nos ressources devrait s’ouvrir prochainement .
PRISME accompagne la ville de La Ferté sous Jouarre dans la mise en œuvre du CEL, du PEL et de l’ U.P.O.R. (Université Populaire Ouverte en Réseau)
PRISME prépare pour l’ARF des séminaires en régions dans la continuité des journées de Lille en juin.
PRISME est invité par la FOCEL 77 à l’inauguration du centre international de Bois-le-Roi
PRISME organisera ses prochaines rencontre mensuelles les mercredis 25 octobre, 22 novembre et 20 décembre A confirmer

[http://www.prisme-asso.org/->http://www.prisme-asso.org/ ]
contact [prisme@prisme-asso.org->prisme@prisme-asso.org ]
La lettre de PRISME est réalisée par Jean Roucou avec l’assistance de Claudia Ethève 05/09/2006 Hébergeur : GLOBENET

Document(s) associé(s) :

doc/La_lettre_electronique_numero_40_septembre_2006_original-2.doc

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