PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

In L’Harmattan :

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Note de l’éditeur : " Les inégalités sont présentes partout, entre les 182 États observés et, à l’intérieur des États, entre les populations qui les composent.

Mais elles se situent à des degrés divers, qui les rendent souvent inacceptables. Et dans tous les domaines : écarts de revenus entre les États et à l’intérieur des États ; inégalités face à l’espérance de vie ou quant à l’accès aux biens indispensables à la vie ou la survie, de la nourriture aux soins médicaux ; inégalités quant à l’accès à l’éducation des adultes et des jeunes ou, beaucoup trop souvent encore, entre hommes et femmes ou garçons et filles.

De surcroît, notamment dans les pays les plus pauvres ou les plus inégalitaires, elles s’emboîtent et se cumulent, en particulier quant aux domaines de la santé et de l’éducation, engendrant des situations intolérables, à dénoncer certes, mais aussi à combattre.

Mieux vaut être norvégien que burundais, habitant d’Europe du Nord que d’Afrique centrale, ouzbek que malien, cubain que haïtien, égyptien que congolais, chilien que vénézuélien ou finlandais que français… Mais bien d’autres États ont été comparés, et bien d’autres pourraient l’être, par chacun.

Cet ouvrage voudrait d’abord s’adresser à ceux qui, professionnels ou bénévoles, font face à des situations de détresse liées à ces injustices, dans les secteurs de l’action sociale ou de l’éducation et de la santé par exemple, mais aussi aux décideurs et aux politiques, qui pourraient ou devraient jouer un rôle essentiel quant à la réduction des inégalités les plus insoutenables.

Gabriel LANGOUËT, sociologue, est professeur émérite de l’Université Descartes – Paris V, Faculté des sciences humaines et sociales-Sorbonne et CERLIS/CNRS.

Roger ESTABLET, sociologue, est professeur émérite de l’Université de Provence.

Les inégalités sont présentes partout, entre les 182 États observés et, à l’intérieur des États, entre les populations qui les composent.

Mais elles se situent à des degrés divers, qui les rendent souvent inacceptables. Et dans tous les domaines : écarts de revenus entre les États et à l’intérieur des États ; inégalités face à l’espérance de vie ou quant à l’accès aux biens indispensables à la vie ou la survie, de la nourriture aux soins médicaux ; inégalités quant à l’accès à l’éducation des adultes et des jeunes ou, beaucoup trop souvent encore, entre hommes et femmes ou garçons et filles.

De surcroît, notamment dans les pays les plus pauvres ou les plus inégalitaires, elles s’emboîtent et se cumulent, en particulier quant aux domaines de la santé et de l’éducation, engendrant des situations intolérables, à dénoncer certes, mais aussi à combattre.

Mieux vaut être norvégien que burundais, habitant d’Europe du Nord que d’Afrique centrale, ouzbek que malien, cubain que haïtien, égyptien que congolais, chilien que vénézuélien ou finlandais que français… Mais bien d’autres États ont été comparés, et bien d’autres pourraient l’être, par chacun.

Cet ouvrage voudrait d’abord s’adresser à ceux qui, professionnels ou bénévoles, font face à des situations de détresse liées à ces injustices, dans les secteurs de l’action sociale ou de l’éducation et de la santé par exemple, mais aussi aux décideurs et aux politiques, qui pourraient ou devraient jouer un rôle essentiel quant à la réduction des inégalités les plus insoutenables.

Les inégalités sont présentes partout, entre les 182 États observés et, à l’intérieur des États, entre les populations qui les composent.

Mais elles se situent à des degrés divers, qui les rendent souvent inacceptables. Et dans tous les domaines : écarts de revenus entre les États et à l’intérieur des États ; inégalités face à l’espérance de vie ou quant à l’accès aux biens indispensables à la vie ou la survie, de la nourriture aux soins médicaux ; inégalités quant à l’accès à l’éducation des adultes et des jeunes ou, beaucoup trop souvent encore, entre hommes et femmes ou garçons et filles.

De surcroît, notamment dans les pays les plus pauvres ou les plus inégalitaires, elles s’emboîtent et se cumulent, en particulier quant aux domaines de la santé et de l’éducation, engendrant des situations intolérables, à dénoncer certes, mais aussi à combattre.

Mieux vaut être norvégien que burundais, habitant d’Europe du Nord que d’Afrique centrale, ouzbek que malien, cubain que haïtien, égyptien que congolais, chilien que vénézuélien ou finlandais que français… Mais bien d’autres États ont été comparés, et bien d’autres pourraient l’être, par chacun.

Cet ouvrage voudrait d’abord s’adresser à ceux qui, professionnels ou bénévoles, font face à des situations de détresse liées à ces injustices, dans les secteurs de l’action sociale ou de l’éducation et de la santé par exemple, mais aussi aux décideurs et aux politiques, qui pourraient ou devraient jouer un rôle essentiel quant à la réduction des inégalités les plus insoutenables.

Gabriel LANGOUËT, sociologue, est professeur émérite de l’Université Descartes – Paris V, Faculté des sciences humaines et sociales-Sorbonne et CERLIS/CNRS.

Roger ESTABLET, sociologue, est professeur émérite de l’Université de Provence.

 

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Categories: 4.2 Société

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