PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

In France Stratégie – le 22 juillet 2014 :

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La note propose une méthode permettant de détecter des postes de dépense publique à forte présomption d’inefficience, sur la base d’une comparaison internationale des dépenses et des résultats des politiques.

Face à des déficits publics importants et une dette publique élevée et croissante, hérités de la crise qui a débuté en 2008, la France a engagé une politique de réduction des déficits, en augmentant les recettes et, de plus en plus, en cherchant à réduire la part des dépenses publiques dans le PIB.

Pour identifier les sources possibles de réduction des dépenses, deux types de démarches complémentaires peuvent être mobilisés :

  • une démarche bottom up, qui consiste à synthétiser les analyses des commissions, agences, administrations ou, le plus souvent, des services des ministères sur l’évaluation d’une catégorie de dépenses (rapports de la Cour des comptes ou des inspections en France par exemple), d’une politique publique (politique familiale, du logement) ou d’un transfert (assurance maladie, aides au logement) ;
  • une démarche top down, qui part à l’inverse des dépenses publiques agrégées par grands postes de la comptabilité nationale et cherche à identifier, à l’aide de comparaisons internationales, les postes pour lesquels les dépenses sont plus élevées que dans les autres pays, pour un niveau de performance équivalent ou supérieur – dans ce cadre, la performance est appréciée par des indicateurs de résultats (par exemple les scores Pisa et le taux de décrochage scolaire pour les dépenses en éducation).

Sommaire de la note – Pourquoi les dépenses publiques sont-elles plus élevées dans certains pays ?

  • Les politiques publiques pour lesquelles la France dépense relativement plus

Auteurs : Céline Mareuge et Catherine Merckling, département Économie Finances

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Note d’analyse – Pourquoi les dépenses publiques sont-elles plus élevées dans certains pays ? (PDF – 3.43 Mo )

Auteur(s) Céline Mareuge et Catherine Merckling

Face à des déficits publics importants et une dette publique élevée et croissante, hérités de la crise qui a débuté en 2008, la France a engagé une politique de réduction des déficits, en augmentant les recettes et, de plus en plus, en cherchant à réduire la part des dépenses publiques dans le PIB.

Pour identifier les sources possibles de réduction des dépenses, deux types de démarches complémentaires peuvent être mobilisés :

  • une démarche bottom up, qui consiste à synthétiser les analyses des commissions, agences, administrations ou, le plus souvent, des services des ministères sur l’évaluation d’une catégorie de dépenses (rapports de la Cour des comptes ou des inspections en France par exemple), d’une politique publique (politique familiale, du logement) ou d’un transfert (assurance maladie, aides au logement) ;

  • une démarche top down, qui part à l’inverse des dépenses publiques agrégées par grands postes de la comptabilité nationale et cherche à identifier, à l’aide de comparaisons internationales, les postes pour lesquels les dépenses sont plus élevées que dans les autres pays, pour un niveau de performance équivalent ou supérieur – dans ce cadre, la performance est appréciée par des indicateurs de résultats (par exemple les scores Pisa et le taux de décrochage scolaire pour les dépenses en éducation).

Sommaire de la note – Pourquoi les dépenses publiques sont-elles plus élevées dans certains pays ?

  • Les politiques publiques pour lesquelles la France dépense relativement plus

Auteurs : Céline Mareuge et Catherine Merckling, département Économie Finances

 

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Categories: 4.2 Société

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