PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

Le ministre de l’éducation nationale a présenté, le 25 novembre 2010, un plan de développement des usages du
numérique à l’école (plan DUNE) dont la finalité était d’accélérer de façon significative pour les années à venir
l’usage pédagogique des outils numériques.
Cinq axes prioritaires ont été définis :
– faciliter l’accès à des ressources numériques de qualité ;
– former et accompagner les enseignants pour l’usage du numérique afin de favoriser l’évolution des
pratiques pédagogiques ;
– généraliser les services numériques et les environnements numériques de travail (ENT) ;
– relancer le partenariat avec les collectivités territoriales ;
– former les élèves à un usage « responsable » et « citoyen » des technologies de l’information et de
la communication
.

Ce plan répondait à une attente et devait combler un déficit : après plusieurs initiatives centrées sur les
équipements, un dispositif visant le développement des usages pédagogiques et l’accès aux ressources
numériques était le bienvenu. Il pouvait se fonder sur l’expérience acquise dans les plans précédents. Prévu
pour une période de trois ans, il devait permettre les anticipations nécessaires à un véritable partenariat avec
les collectivités territoriales, à un changement des pratiques, à l’émergence d’un marché viable pour les
ressources pédagogiques numériques.

Mais les conditions de pilotage national de ce plan n’ont pas permis que ces objectifs soient atteints, en tout cas
au début de l’été 2012. La lenteur des arbitrages en a retardé le démarrage ; le transfert, dans la même période,
des services en charge du numérique pédagogique du STSI (service des technologies et des systèmes
d’information – secrétariat général) à la DGESCO, le partage des responsabilités entre plusieurs bureaux,
l’absence d’organisation en « mode projet » ont rendu difficile une coordination efficace. Les contraintes
financières, limitant le budget à 30 M€ pour les trois ans, alors que le plan « école numérique rurale » (ENR) en
avait mobilisé 67, ont conduit à restreindre les ambitions.

La concertation trop tardive avec les représentants des collectivités territoriales n’a pas permis de conclure les
conventions-cadres nationales qui auraient facilité le développement des partenariats locaux, alors même que le
couplage du plan avec le développent des ENT imposait un effort financiers des collectivités et que l’état ne
parvenait pas à dégager, au démarrage, des moyens pour la formation de ses personnels, condition posée par la
plupart des collectivités. Une large place a été faite en revanche à la concertation avec les éditeurs, mais leurs
exigences en matière de commercialisation des ressources ont conduit à un dispositif peu satisfaisant pour les
enseignants, tant en ce qui concerne l’accès aux ressources qu’en matière de financement.

Le déploiement du dispositif dans les académies s’est opéré en deux phases, alors qu’initialement il en était
annoncé trois. Chacune a concerné un groupe d’académies (13 pour la première et les 17 autres pour la
seconde) ; 20 M€ ont été engagés et une incertitude subsiste sur une éventuelle troisième phase. Le choix des
académies de la première vague s’est fait à la suite d’un appel à projets, procédure dont la mise en oeuvre est
apparue contestable et qui ne paraissait pas s’imposer dès lors que toutes les académies devaient être dotées,
selon des modalités identiques sur l’ensemble du territoire : cette procédure a eu pour effet de retarder de
plusieurs mois la mise à disposition des ressources. Le lancement d’un nouvel appel à projets pour la seconde
phase manquait encore plus de rationalité.

Les recteurs ont eu à coeur de répondre aux attentes du ministre et leurs conseillers TICE, ainsi que leurs
équipes, se sont fortement impliqués dans la préparation des réponses aux appels à projets et, ensuite, dans la
mise en oeuvre du plan. Mais les enseignants des écoles et des établissements bénéficiaires des académies de la
première vague n’ont été informés qu’au printemps 2012 et ceux des académies de la seconde ne le seront pas
avant le mois d’octobre.

Le dispositif s’est révélé très déséquilibré.
Le développement de l’accès aux ressources numériques a mobilisé l’essentiel des énergies et 80 % des
financements (les 8 M€ de la première phase et 8 des 12 M€ de la seconde). Un dispositif original a été mis en
place : un catalogue de référencement de toutes les ressources numériques proposées par les éditeurs dit
« catalogue chèque ressources » (CCR), géré par le CNDP. Les établissements attributaires ont été dotés d’un
« droit de tirage » sur ces ressources (allant de 500 € pour une école à 2 500 € pour un grand lycée), certaines
académies ayant dû négocier un peu de souplesse pour tenir compte de particularités locales.

Mais sa durée de
vie est limitée à celle du plan, à savoir trois ans. En outre, les conditions posées par les éditeurs créent de
lourdes contraintes : ni les collectivités locales, ni les établissements eux-mêmes ne peuvent abonder le montant
alloué pour acquérir les ressources figurant au CCR ; ce catalogue, dans sa première version a été structuré par
maison d’édition, ce qui rend difficile la recherche par discipline et par niveau, ou par thème ; il ne comporte
aucune appréciation qualitative. Les portails, élaborés par le ministère pour certaines disciplines, qui recensent
notamment les ressources gratuites ou celles produites par le réseau du CNDP, n’ont pas pu y être intégrés et ne
sont accessibles que sur EDUSCOL ; le portail unique de référencement de l’ensemble des ressources
pédagogiques initialement prévu n’a donc pu voir le jour.

Les produits proposés (une majorité de « manuels numériques ») correspondent peu aux attentes des
enseignants, en particulier dans le Premier degré, et aux usages qu’ils privilégient dans leurs classes. La
relative faiblesse du niveau des commandes au mois de juin 2012 atteste d’un faible intérêt de leur part.
L’ergonomie du catalogue a été améliorée pour la seconde phase, mais il est trop tôt pour évaluer l’impact des
modifications apportées.

L’accompagnement des enseignants n’est pas encore opérationnel. Les corps d’inspection sont impliqués de
façon très inégale ; ils interviennent en tout cas très rarement dans le choix des ressources, se conformant ainsi
à la demande fortement exprimée par les éditeurs et relayée par la DGESCO ; beaucoup n’ont pas reçu de
formation à l’usage de ces ressources et certain doivent encore être convaincus. Certains CRDP ou CDDP ont
pris un peu plus de liberté et s’efforcent d’informer au mieux les enseignants sur l’intérêt des différentes
ressources, notamment pour le premier degré. Les professeurs référents pour les usages pédagogiques du
numérique, une des innovations pertinentes du plan, se mettent en place mais difficilement : leurs missions ne
sont pas assez clairement définies ; ils sont présentés comme les formateurs de leurs collègues, mais les
formations spécifiques dont ils devraient bénéficier en priorité ne sont pas encore en place et les CRDP et
CDDP, qui devaient y contribuer, ont été peu mobilisés à cet effet. Les conditions de leur indemnisation
méritent d’être revues et clarifiées.

Pour la formation des enseignants, aucun dispositif spécifique n’était prévu dans la première phase ; elle s’est
poursuivie dans le cadre préétabli des plans académiques de formation existants, qui ont parfois été infléchis
mais sans s’inscrire dans une stratégie de conduite du changement. Un financement de 4 M€ est prévu pour la
seconde phase mais chaque académie construit son propre dispositif et l’accent n’est pas mis systématiquement
sur la formation des professeurs référents. La plateforme collaborative de formation à distance Pairform@nce
n’a pour l’instant que peu contribué à ce dispositif.

La généralisation des ENT, présentée aux académies, dans les deux appels à projets successifs, comme une
condition pour bénéficier du plan DUNE (mais, dans les faits, par toujours respectée), s’est révélée être un frein
à son déploiement : là où ils existent, les ENT sont en général peu utilisés par les enseignants, sauf pour la vie
scolaire ; ils leur préfèrent d’autres services numériques et utilisent d’autres procédures d’identification ou de
protection. Dans l’état actuel des réseaux, les débits sont en effet jugés le plus souvent insuffisants, les
connexions aléatoires et les procédures d’identification dissuasives pour un usage collectif.

Les ENT mobilisentpourtant une grande part des financements des collectivités locales, qui pourraient les utiliser autrement en
faveur du numérique. En outre, la généralisation de l’usage pédagogique des ENT supposerait des
investissements massifs dans les réseaux, que toutes les collectivités ne peuvent pas envisager, notamment en ce
qui concerne les écoles primaires. Les fournisseurs de ressources, dans la première phase au moins, avaient
considéré que les ENT étaient les seuls outils permettant d’identifier précisément les utilisateurs de leurs
produits, d’analyser donc précisément la demande tout en garantissant le respect des droits des auteurs et des
éditeurs ; mais beaucoup d’acteurs estiment que d’autres solutions sont envisageables pour garantir ces droits.

Les partenariats avec les collectivités locales ne se sont pas développés comme espéré ; tout au plus a-t-on pu
enregistrer des déclarations d’intention en matière de développement des ENT. Les collectivités attendaient
surtout un engagement fort de l’état en faveur de la formation des enseignants, car leur préoccupation légitime
est que les investissements qu’ils consentent dans les matériels, les réseaux, les ENT se traduisent par une
évolution des pratiques pédagogiques ; de ce point de vue, la première phase du plan les a déçues et il n’est pas
encore possible de dire si elles seront sensibles à l’existence d’un volet « formation » dans la deuxième phase.
Le développement de l’Internet responsable est encore embryonnaire et marqué par la confusion entre usage
responsable du numérique et usage responsable – et sécurisé – d’Internet. En outre, le portail national mis en
place s’adresse aux responsables du système éducatif et aux professionnels ; il reste à le réorienter en direction
des élèves et des parents, à construire ses déclinaisons académiques en réduisant l’hétérogénéité aujourd’hui
constatée. Enfin, la rénovation du B2i doit se traduire dans les établissements.

Il est trop tôt pour tenter d’apprécier les effets du plan sur les pratiques pédagogique puisque, dans les
académies de la première vague, le volume le plus important de commandes a été passé au mois de juin et, pour
la seconde, les établissements ne recevront la notification des moyens qui leur sont attribués qu’à la rentrée.
Néanmoins, les observations faites dans les classes permettent de constater que les enseignants, peu attirés par
les manuels numériques (principale ressource proposée sur le CCR), privilégient les ressources ouvertes et
interactives moins présentes sur le catalogue national et disponibles plutôt sur les portails disciplinaires. Elles
confirment aussi que l’ENT, dans ses conditions de mise en oeuvre actuelle, ne favorise pas les pratiques
pédagogiques innovantes, mais que les outils de mobilité (ordinateurs individuels portables, baladeurs
numériques et surtout tablettes) sont les véritables vecteurs de l’innovation pédagogique par l’interactivité
qu’ils rendent possible, alors qu’ils semblent avoir été négligés par l’institution, si l’on excepte quelques
expérimentations.
*****
En se focalisant sur le développement des usages pédagogiques, le plan a fixé un objectif répondant à un réel
besoin. Mais sa construction, faite du regroupement d’initiatives antérieures, à l’exception d’un dispositif
original de mise à disposition de ressources numériques, et les difficultés de sa mise en oeuvre n’ont pas permis
d’initier, un an et demi après son lancement, une dynamique nouvelle permettant d’espérer un changement dans
les pratiques des enseignants.

Les recommandations de la mission sont de deux ordres.
Les unes visent à tirer le meilleur parti des acquis du plan et notamment du catalogue, en le pérennisant, en y
intégrant l’ensemble des ressources disponibles, notamment celles présentées dans les portails disciplinaires, et
en permettant aux enseignants de disposer d’appréciations qualitatives sur les productions présentées.
Les autres recommandations concernent d’autres initiatives qui pourraient être prises, dans l’avenir, pour
développer les usages pédagogiques du numérique. Elles soulignent la nécessité de mener les concertations avec
les collectivités territoriales préalablement au lancement des opérations, de mobiliser de toutes les compétences,
notamment celles des CRDP et des professeurs documentalistes, de développer la formation initiale et continue
des enseignants, de sensibiliser les corps d’inspection et de direction et d’adapter les concours de recrutement.
La mission préconise également de favoriser le développement d’outils collaboratifs, d’encourager la
production de manuels scolaires numériques interactifs et téléchargeables pouvant être installés sur les
ordinateurs ou tablettes des élèves, et de renforcer la formation aux usages responsables d’internet en
élargissant la cible du portail national et des portails académiques au public des élèves et des parents.

Les inspections générales de l’éducation nationale ont été chargées par la lettre de mission
pour l’année 2011-2012, publiée au BOEN du 29 septembre 2011, de rendre compte de la
mise en oeuvre des expérimentations et innovations engagées par le ministère et, à ce titre,
d’assurer notamment le suivi des actions entreprises dans le cadre du plan de développement
des usages du numérique à l’École, qui sera désigné par « plan DUNE » dans le présent
rapport.

Sur la base des réflexions entreprises depuis plusieurs années et des expérimentations
multiples déjà engagées (généralisation des espaces numériques de travail [ENT], École
numérique rurale [ENR], manuel numérique via l’ENT, etc.), le ministre de l’éducation
nationale a présenté, le 25 novembre 2010, un plan de développement des usages du
numérique à l’école (plan DUNE) afin d’accélérer de façon significative pour les années à
venir l’usage pédagogique des outils numériques.

À cet effet sont définis cinq objectifs, qui en
constituent les axes prioritaires :
– faciliter l’accès à des ressources numériques de qualité (ouverture d’un portail
national d’accès à ces ressources et mise en place de financements dédiés sous
forme de « chèques ressources » attribués aux écoles et aux EPLE) ;
– former et accompagner les enseignants pour l’usage du numérique afin de
favoriser l’évolution des pratiques pédagogiques ;
– généraliser les services numériques et les environnements numériques de travail
(ENT) ;
– relancer le partenariat avec les collectivités territoriales ;
– former les élèves à un usage « responsable » des technologies de l’information et
de la communication.

La mise en oeuvre du plan DUNE a été impulsée et coordonnée au niveau national par la
direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO), sous-direction des programmes
d’enseignement, de la formation des enseignants et du développement numérique (A3). Elle
est pilotée sur le terrain par les recteurs d’académie et leurs conseillers TICE, qui sont invités
à y associer les collectivités territoriales.

Un premier appel à projets a été lancé auprès des académies en février 2011 et les dispositions
ont été prises au cours des deux trimestres suivants pour qu’un début de mise en oeuvre
effective du plan puisse s’effectuer dès la rentrée 2011. Celle-ci devait se poursuivre ensuite
tout au long de l’année et était initialement prévue pour une durée de trois années scolaires,
dans le cadre d’un plan de financement pluriannuel pour l’acquisition de ressources
numériques. Les académies devaient entrer dans le dispositif en trois vagues successives, une
par an. Le premier appel à projets devait permettre de choisir les académies jugées prêtes à
répondre au cahier des charges et à tirer profit, dès l’année scolaire 2011-2012, des moyens
qui leur seraient alloués. Un deuxième appel à projets a été lancé en novembre 2011.
Il a été alors décidé que la deuxième vague serait la dernière et que toutes les académies qui
n’avaient pas été retenues à la suite du premier appel seraient dotées et se verraient attribuer
un volume global de moyens identique à celui dont ont bénéficié les 13 premières académies pour l’acquisition de ressources numériques. En effet, bien qu’elles soient plus nombreuses
(17 académies pour la seconde vague), leurs effectifs d’élèves ne sont pas supérieurs à ceux
des 13 premières académies.
Pour mener à bien leur mission, les inspecteurs généraux ont eu recours à trois types
d’investigations :
– recension et analyse de tous les textes programmatiques et instructions données
aux divers échelons de la hiérarchie impliqués dans la mise en oeuvre du plan
DUNE, notamment, dans les académies, jusqu’aux établissements scolaires ;
examen des portails de ressources ; remontée des premières informations
statistiques ;
– entretiens avec les acteurs du système éducatif impliqués dans la mise en oeuvre du
plan ; avec les représentants des éditeurs et producteurs de ressources numériques
pédagogiques publiques et privées ; avec les représentants au niveau national des
collectivités territoriales ;
– visites de terrain effectuées sur un échantillon de six des treize académies retenues
dans le cadre du premier appel à projets (Aix-Marseille, Bordeaux, Créteil,
Grenoble, Lyon, Nancy-Metz). Dans chaque cas, les inspecteurs généraux ont
rencontré les représentants des autorités académiques (recteur, CTICE, DASEN,
IA-IPR, IEN-TICE, IEN de circonscription, directeurs de CRDP, etc.) et ceux des
collectivités territoriales impliquées (directeurs ou vice-présidents en charge de
l’éducation au conseil régional et au conseil général, maires ou maires-adjoints).
Ces rencontres ont été complétées par des visites d’écoles et d’établissements
(collèges, LGT, LP), donnant lieu à des entretiens avec la direction, les membres
du conseil pédagogique ou du conseil d’école ainsi qu’avec le « professeur référent
pour les usages pédagogiques du numérique » dans les établissements du second
degré. Ces visites ont également permis l’observation in situ de séquences
permettant d’apprécier l’usage en classe des technologies numériques.

La mission a mobilisé, au cours des premiers mois, huit inspecteurs généraux :
MM. Michel Pérez, Jean-Louis Durpaire, Paul Mathias, Frédéric Thollon et Pierre Vinard
pour l’IGEN ; Alain-Marie Bassy, Alain Brunet et Philippe Forstmann pour l’IGAENR. Deux
d’entre eux, Alain-Marie Bassy et Alain Brunet, ayant fait valoir leur droit à la retraite au
mois d’avril 2012, ne sont pas signataires du présent rapport.
Alain-Marie Bassy et Michel Pérez ont rédigé, au mois d’avril, une note d’étape qui a été
adressée au ministre et dont les analyses sont intégrées au présent rapport.

Comme le précise la note de cadrage de la mission figurant en annexe 1, les inspecteurs
généraux se sont efforcés d’apprécier la cohérence et la pertinence des modèles retenus pour
la mise en oeuvre du plan (organisation, communication, partenariats, procédures), tant au
niveau national que dans chacune des académies visitées. Ils ont tenté d’apprécier
l’articulation du plan DUNE au projet numérique de l’académie, de l’établissement, de l’école
(ou de la circonscription) et sa réception par les acteurs du terrain (corps d’inspection, chefs
d’établissement, enseignants).

formation) et des élèves (apprentissage des usages responsables du numérique) et se sont
efforcés de déterminer, dans les classes où ils se sont rendus et à l’occasion d’entretiens avec
les enseignants et les corps d’inspection, si les ressources numériques et l’usage que
permettaient d’en faire les différents outils disponibles pour les enseignants et pour les élèves
étaient de nature à faire évoluer – et comment – les pratiques pédagogiques.

La synthèse de ces observations, que constitue le présent rapport, est organisée de façon à
rendre compte d’abord de la conception, de l’élaboration et du pilotage national du plan
(partie 1), puis des conditions de la mise en oeuvre du plan dans les académies (partie 2).
Les cinq axes définis dans l’annonce ministérielle (accès aux ressources, formation des
enseignants et animation, articulation aux espaces numériques de travail (ENT),
développement des partenariats avec les collectivités locales, développement des usages
« responsables » des outils numériques) servent de fil directeur à la présentation, aussi bien
pour le niveau national que pour le niveau académique.

Enfin, la troisième partie analyse les effets du plan DUNE sur les pratiques pédagogiques.

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