PRomotion des Initiatives Sociales en Milieux Educatifs

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L’inspection générale de l’Éducation nationale remet chaque année au Ministre des rapports dont beaucoup sont élaborés conjointement avec I.G.A.E.N.R.

Conformément au Programme de travail fixé chaque année, ces rapports ont pour objet l’étude des thèmes prioritaires retenus par le Ministre ainsi que le suivi permanent de la mise en oeuvre de la politique éducative.
Cette expertise a pour but de contribuer à la prise de décisions des responsables concernés.

L’inspection générale de l’Éducation nationale est un corps placé sous l’autorité directe des ministres chargés de l’Éducation, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

  • présentation et missions
  • organisation

la page de référence

  • L’accueil, la gestion et la formation des personnels contractuels en EPLE
    Les établissements publics locaux d’enseignement (EPLE) ont accueilli au cours des dernières années un grand nombre de personnels contractuels, de droit public ou de droit privé, soumis à des régimes juridiques multiples. La mission a orienté ses investigations sur trois types de contractuels : les assistants d’éducation, les personnels en contrats aidés et les contractuels enseignants. La situation de l’EPLE désormais employeur de bénéficiaires de contrats à durée déterminée fait l’objet de la première partie de l’étude. Les inspecteurs généraux ont ensuite centré leurs analyses sur les EPLE qui assument également des fonctions de mutualisation pour le compte d’autres EPLE ou des écoles. La troisième partie du rapport traite de l’accueil en EPLE des contractuels enseignants, bien qu’ils ne soient ni recrutés ni gérés par les établissements. La mission formule enfin, dans une quatrième partie, dix propositions susceptibles d’améliorer et de sécuriser les modalités d’accueil, de gestion et de formation des contractuels en EPLE.

  • Les semaines de l’engagement lycéen
    Précédant le rapport sur les "dispositifs destinés à favoriser la vie lycéenne", cette note d’étape s’attarde sur les "semaines de l’engagement lycéen" qui se sont tenues dans tous les lycées du 30 septembre au 18 octobre 2013, avec leurs trois volets de projets citoyens, de formation des élèves et d’élection par ceux-ci de leurs délégués aux conseils pour la vie lycéenne. L’observation concrète de cet événement circonscrit, institué par une circulaire parue moins d’un mois auparavant, ne se limite pas à son effet sur la participation électorale ; elle met au jour les principaux ressorts, la place des divers acteurs et un certain nombre de blocages de la "vie lycéenne" dans le fonctionnement concret des établissements. C’est un paysage très disparate qui se dessine, autant du point de vue de la dynamique des projets que du point de vue de l’exercice d’une "démocratie lycéenne". Les constantes dégagées incitent cependant, avant la mise en place d’un "acte II de la vie lycéenne", à assurer la mise en œuvre effective de son acte I.

  • Évaluation du dispositif expérimental "ABCD de l’égalité"
    L’inspection générale de l’éducation nationale a été chargée de l’évaluation du dispositif expérimental "ABCD de l’égalité". Copilotée par les ministères de l’éducation nationale et des droits des femmes, cette opération visait à "susciter une évolution positive des attitudes des enseignants et des élèves des deux sexes" conformément aux engagements arrêtés par la "convention interministérielle pour l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes dans le système éducatif" valant pour la période 2013-2018. Le bilan de la mise en place dans les académies est accompagnée d’une analyse du phénomène de contestation auquel a donné lieu ce dispositif expérimental ; des préconisations sont faites en vue d’une généralisation qui soit celle d’une éducation pour l’égalité des droits entre filles et garçons.

  • Le dispositif "plus de maîtres que de classes"
    Le dispositif "plus de maîtres que de classes" a été instauré par la circulaire du 18 décembre 2012. La loi pour la refondation de l’École de la République du 8 juillet 2013 disposait qu’une partie des 7 000 emplois qu’elle prévoyait de créer lui serait consacrée. Le dispositif donne la possibilité d’affecter, sur la base d’un projet pédagogique, un enseignant supplémentaire dans une école ou un groupe scolaire. Il permet ainsi de mettre en place de nouvelles modalités d’organisation pédagogique pour aider les élèves les plus en difficulté à progresser. La mission des inspections générales s’est déroulée en deux temps. Elles ont d’abord observé les conditions d’installation du dispositif au cours du premier trimestre de l’année scolaire 2013-2014, puis elles se sont consacrées, à partir du mois de janvier 2014, à l’étude des pratiques pédagogiques qui en ont découlé.

La mise en place des conseils école-collège Le conseil école-collège a été institué par l’article 57 de la loi du 8 juillet 2013 pour la refondation de l’École de la République. Le décret n° 2013-683 du 24 juillet 2013 a défini sa composition et ses modalités de fonctionnement et prévu la mise en place progressive de cette instance au cours de l’année scolaire 2013-2014. La mission a suivi ce processus. Elle s’est intéressée à la mise en place administrative des conseils (formes de pilotage au niveau académique et départemental, choix faits par les acteurs concernant la composition des conseils, articulation entre les différentes instances) et aux questions soulevées par leur création (sectorisation, organisation des temps de rencontre, indemnisations). Elle a également dressé un premier état des lieux des programmes d’actions engagés ou envisagés pour la rentrée 2014, en les resituant par rapport aux dispositifs existants. Si la vocation pédagogique du conseil est bien perçue par les acteurs, le rapport formule des préconisations pour que les actions proposées soient mises en cohérence et soient davantage conçues comme une réponse aux besoins des élèves.

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